Située dans le quartier de Saijô

Quelques mots sur la maison Kamotsuru

Saké(s) produit(s) par la maison

Saké Junmai Ginjo Itteki Nyukon

11,50 33,50  TTC
Saké très équilibré de la Maison Kamotsuru. Complexe au nez, on est charmé par les arômes fruités et herbacés. En bouche l'attaque est douce et moelleuse, avec une acidité qui prend vite le relais, conférant une richesse gourmande en coeur de bouche. La finale, persistante, est minérale. Un Junmai Ginjo superbement maitrisé et très abordable.

A propos du producteur

Ce que nous aimons

La très grande Maison Kamotsuru, est située dans le quartier de Saijô, l’un de trois sites historiques de production du saké au Japon aux côtés de Nada à Okayama et Fushimi à Kyôto.
Cette brasserie a joué par le passé un rôle primordial dans la modernisation de la production du saké, puisque c’est elle qui fit l’acquisition de la toute première machine à polir le riz en 1898. Ceci lui permit de produire du saké avec un riz poli à 75%, un taux inatteignable auparavant, qui exprimait alors des saveurs et des arômes complètement nouveaux.

Grâce à cette innovation, la Maison Kamotsuru commença de très nombreuses récompenses au Japon et à l’étranger, dont un premier à l’Exposition universelle de 1900 à Paris ! Aujourd’hui encore, la brasserie occupe une place de premier plan dans le monde du saké.

Leur savoir-faire

Très bien située dans le quartier historique de Saijo, Kamotsuru accueille un beau musée dédié au saké (explications en anglais), ainsi qu’un vaste point de vente. N’hésitez pas à programmer une visite lors de votre prochain voyage au Japon !

Le département de Hiroshima où est produit ce saké, est situé à l’Ouest de l’île principale de l’archipel japonais.

Un région de SAKÉ.

On y brasse du saké depuis le moyen-âge, mais c’est à partir de la fin du 19ème siècle que la production a véritablement pris son essor.

Un goût incomparable.

De nos jours, les 51 brasseries de Hiroshima ont à cœur de perpétuer cet héritage. D’une manière générale, l’eau très douce de la région confère à leurs sakés une douceur en bouche.

Un investissement centenaire.

Les innovations qu’il mit au point, notamment en matière de culture du kôji  et de température de brassage permirent l’amélioration générale de la qualité.

Label qualité.

C’est à Hiroshima également que l’industriel Riichi Satake développa dans les années 1930 la première polisseuse à riz verticale, grâce à laquelle l’on pouvait dorénavant polir le riz à des taux jusque là inconnus.