Située dans la petite ville de Miyoshi

Quelques mots sur la maison Bajo

Saké(s) produit(s) par la maison

Saké Junmai Daigorei Hattan Nishiki

34,50  TTC
Un saké sec et corsé, riche en umami avec une texture légèrement huileuse. Il présente une acidité subtile avec des notes d'agrumes et de pomme confite, et une finale persistante marquée par des nuances d'amandes amères et de champignons.

A propos du producteur

Ce que nous aimons

Fondée en 1893 dans la campagne proche de la ville de Hiroshima, la Maison Bajo est un des plus petits producteurs partenaires de WeWantSaké !

Pendant longtemps, la Maison Bajo écoulait sa modeste production quasi-exclusivement à l’échelle locale, mais ces dernières années le vieillissement de la population rurale a entraîné une baisse de ses ventes, poussant monsieur Bajo à envisager de mettre la clé sous la porte.

C’était sans compter sur monsieur Murata, un jeune investisseur passionné, qui est venu apporter un nouveau souffle en amenant avec lui un jeune maître brasseur, chargé de repenser les sakés de la marque emblématique maison « Daigorei ».

Leur savoir-faire

Ce renouveau n’a cependant pas changé les méthodes de travail : ici on met l’accent sur les outils anciens et le travail manuel. Le riz est cuit à la vapeur dans un vieux koshiki en bois et non en métal, puis refroidi naturellement et non en machine. La presse est uniquement verticale et en petite quantité (fune) et non horizontale (yabuta), etc. Tout est réalisé par seulement trois personnes : monsieur Bajo, son épouse, et le maître brasseur.

Les sakés Daigorei de la Maison Bajo sont riches, généreux en goût et en acidité.

Le département de Hiroshima où est produit ce saké, est situé à l’Ouest de l’île principale de l’archipel japonais.

Un région de SAKÉ.

On y brasse du saké depuis le moyen-âge, mais c’est à partir de la fin du 19ème siècle que la production a véritablement pris son essor.

Un goût incomparable.

De nos jours, les 51 brasseries de Hiroshima ont à cœur de perpétuer cet héritage. D’une manière générale, l’eau très douce de la région confère à leurs sakés une douceur en bouche.

Un investissement centenaire.

Les innovations qu’il mit au point, notamment en matière de culture du kôji  et de température de brassage permirent l’amélioration générale de la qualité.

Label qualité.

C’est à Hiroshima également que l’industriel Riichi Satake développa dans les années 1930 la première polisseuse à riz verticale, grâce à laquelle l’on pouvait dorénavant polir le riz à des taux jusque là inconnus.