Fondée en 1912

Quelques mots sur la maison Kamoizumi

Saké(s) produit(s) par la maison

Saké Junmai rosé Cokun

24,80  TTC
Saké brassé à partir d’une levure très particulière qui lui donne naturellement une élégante teinte rosée. Faible en alcool, très doux, soyeux, marqué par des arômes fruités, c'est un délice à l’apéritif ou durant le dessert. Une très belle entrée en matière pour les personnes peu familières du monde du saké.

A propos du producteur

Ce que nous aimons

Fondée en 1912, la Maison Kamoizumi est la plus récente des brasseries de Saijô, l’un des trois quartiers historiques de production du saké aux côtés de Nada à Okayama et Fushimi à Kyôto. Après une période dans l’après-guerre marquée par la production de sakés avec additifs, elle s’est reconvertie dans le saké « pur riz » Junmai.
La brasserie est même devenue un précurseur dans le domaine, puisqu’elle fut la première à commercialiser dans les années 1970 un Junmai Ginjô, brassé avec un riz poli à 60%, une prouesse à l’époque qui a influencé tout le monde des producteurs de saké.

Leur savoir-faire

Les sakés de la Maison Kamoizumi ne sont pas clarifiés au charbon actif, c’est pourquoi ils sont marqués par un corps plutôt robuste et une richesse en bouche.

Le département de Hiroshima où est produit ce saké, est situé à l’Ouest de l’île principale de l’archipel japonais.

Un région de SAKÉ.

On y brasse du saké depuis le moyen-âge, mais c’est à partir de la fin du 19ème siècle que la production a véritablement pris son essor.

Un goût incomparable.

De nos jours, les 51 brasseries de Hiroshima ont à cœur de perpétuer cet héritage. D’une manière générale, l’eau très douce de la région confère à leurs sakés une douceur en bouche.

Un investissement centenaire.

Les innovations qu’il mit au point, notamment en matière de culture du kôji  et de température de brassage permirent l’amélioration générale de la qualité.

Label qualité.

C’est à Hiroshima également que l’industriel Riichi Satake développa dans les années 1930 la première polisseuse à riz verticale, grâce à laquelle l’on pouvait dorénavant polir le riz à des taux jusque là inconnus.