Située dans la petite ville de Miyoshi

Quelques mots sur la maison Yamaoka

logo les grands sakés hiroshima

Saké(s) produit(s) par la maison

Saké Junmai Zuikan Aigamo

33,90  TTC
Un saké produit avec du riz cultivé selon la méthode Aigamo, offrant un nez frais de fruits d'eau et d'herbes fraîches.

Saké Junmai Ginjo Zuikan Kimoto

31,80  TTC
Un saké de la maison Yamaoka brassé à l'ancienne. Une aromatique calme et traditionnelle typique des sakés "Kimoto", sur le riz frais cuit à la vapeur et les céréales. La bouche est acidulée, minérale, presque iodée, basée plus sur la structure que sur les arômes.

Saké Junmai Ginjo Ii Kaze Hana Omachi

31,00  TTC
Un Junmai Ginjo brassé à partir de la variété de riz ancienne et rustique Omachi, cultivée localement. Caractérisé par un nez captivant, expressif, et par une bouche engageante et complexe, bien équilibrée entre acidité et alcool, il accompagnera idéalement les sushis.

A propos du producteur

Ce que nous aimons

La Maison Yamaoka est située dans la petite ville de Miyoshi, dans la partie montagneuse et verdoyante du département de Hiroshima. La brasserie tient à préserver les méthodes traditionnelles anciennes, sans pour autant cesser d’innover.

Son eau provient des montagnes voisines de la chaîne du Chûgoku. Contrairement à la plupart des autres brasseries de Hiroshima, il ne s’agit pas d’une eau extrêmement douce, puisque son taux de minéraux plus élevé que la moyenne régionale. Il en résulte des sakés avec plus de corps et une acidité plus présente, mais toujours riches en umami.

Leur savoir-faire

Les sakés de la maison Yamaoka, fruits d’un travail minutieux, sont mis à reposer quelques mois voire quelques années avant d’être expédiés afin de stabiliser leurs saveurs, c’est pourquoi certaines bouteilles sont marquées d’un millésime.

Le département de Hiroshima où est produit ce saké, est situé à l’Ouest de l’île principale de l’archipel japonais.

Un région de SAKÉ.

On y brasse du saké depuis le moyen-âge, mais c’est à partir de la fin du 19ème siècle que la production a véritablement pris son essor.

Un goût incomparable.

De nos jours, les 51 brasseries de Hiroshima ont à cœur de perpétuer cet héritage. D’une manière générale, l’eau très douce de la région confère à leurs sakés une douceur en bouche.

Un investissement centenaire.

Les innovations qu’il mit au point, notamment en matière de culture du kôji  et de température de brassage permirent l’amélioration générale de la qualité.

Label qualité.

C’est à Hiroshima également que l’industriel Riichi Satake développa dans les années 1930 la première polisseuse à riz verticale, grâce à laquelle l’on pouvait dorénavant polir le riz à des taux jusque là inconnus.