Fondée en 1899 sur l'île de Kurahashi

Quelques mots sur la maison Enoki

A propos du producteur

Ce que nous aimons

La petite Maison Enoki, fondée en 1899 sur l’île de Kurahashi, cumule les particularités. Premièrement, le fait d’être située sur une petit île est peu commun pour un producteur de saké puisque l’eau des puits risque d’être légèrement salée du fait de la proximité de la mer. Ce n’est pas le cas ici, car la maison Enoki parvient à puiser dans son sous-sol l’eau extrêmement douce typique de la région de Hiroshima.

La maison Enoki a ensuite joué un rôle majeur dans la remise au goût du jour dans les années 70 du “Kijôshu”, un saké unique et rare, produit en petite quantité, dans lequel on remplace l’eau par… du saké lors d’une des étapes de la fabrication. Il en résulte un nectar très doux et rond en bouche. De plus quand il est vieilli plusieurs années, il prend alors une très belle couleur ambrée et exprime des arômes et saveurs qu’on ne retrouve dans aucun autre saké. Le travail innovant de la brasserie a payé puisque le “Hanahato” Kijoshu 8 ans a remporté neuf fois la plus haute distinction dans la catégorie des vieux sakés de l’International Wine Challenge (en 2008, 2010, 2011, 2012,2013, 2014, 2015, 2016 et 2019).

Leur savoir-faire

On peut noter enfin que parmi le staff très réduit de l’entreprise, on trouve Mme Mariko Enoki, la sœur du président, qui vient régulièrement en France présenter ses produits dans divers salons dans un français parfait!

Le département de Hiroshima où est produit ce saké, est situé à l’Ouest de l’île principale de l’archipel japonais.

Un région de SAKÉ.

On y brasse du saké depuis le moyen-âge, mais c’est à partir de la fin du 19ème siècle que la production a véritablement pris son essor.

Un goût incomparable.

De nos jours, les 51 brasseries de Hiroshima ont à cœur de perpétuer cet héritage. D’une manière générale, l’eau très douce de la région confère à leurs sakés une douceur en bouche.

Un investissement centenaire.

Les innovations qu’il mit au point, notamment en matière de culture du kôji  et de température de brassage permirent l’amélioration générale de la qualité.

Label qualité.

C’est à Hiroshima également que l’industriel Riichi Satake développa dans les années 1930 la première polisseuse à riz verticale, grâce à laquelle l’on pouvait dorénavant polir le riz à des taux jusque là inconnus.