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Saké Junmai Azumacho

23,00  TTC
Un saké en petit format très facile à boire. Au nez on ressent tout de suite des notes de céréales, de riz soufflé avec une touche de sucrosité qui rappelle le chocolat, le caramel et la noisette. L'attaque est franche, et le coeur de bouche exprime des arômes de noisette torréfiée et d'herbes sèche.

Saké Kijoshu Hanahato

46,40  TTC
Fantastique Kijoshu de la maison Enoki, qui a grandement contribué à faire revivre ce type rare et particulier de saké. Sa robe ambrée et ses saveurs douces, mielleuses, et caramélisées, sont le fruit de 8 années de maturation en cuve à température ambiante. Ce Kijoshu a reçu six fois la médaille d'or à l'IWC, le plus grand concours international de vin, dans la catégorie des saké, section vieille réserve.

Saké Junmai Ginjo Sumiyama

39,90  TTC
Saké fruité, léger et très rafraîchissant! Il est très agréable au nez, avec des notes de melon, d'anis, de zeste d'orange. L’attaque est étonnante car légèrement perlante. L’ensemble en bouche est agréablement fruité (fraise, melon, ananas), et relevé par une légère acidité rafraîchissante accompagnée de saveurs de céréales. C’est un saké 100% local, produit avec une variété de riz de Saga (“Saga-no-hana“), cultivée juste à côté de la brasserie. Il réjouira les connaisseurs comme les néophytes.

Saké Junmai Ginjo Shichida Omachi

50,00  TTC
Un grand saké de la maison Tenzan qui a obtenu le Prix du Président au concours français des sakés Kura Master. Le nez est séduisant et sucré, sur les fruits avec une belle fraîcheur mentholée. En bouche on est charmé par l'équilibre entre le sucré/fruité d'une part, et le côté acidulé rappelant la pomme verte et l'anis. La finale est longue et puissante.

Saké Kijoshu Gozenshu

39,00  TTC
La maison Tsuji a été en mesure de brasser un saké Gozenshu Kijoshu avec une douceur moelleuse et une sensation en bouche claire typique de la méthode de pied de cuve Bodaimoto. Un saké qui ira parfaitement avec de nombreux desserts mais aussi des plats pour vos repas de fête.

Saké Junmai Ginjo Ii Kaze Hana Omachi

31,00  TTC
Un Junmai Ginjo brassé à partir de la variété de riz ancienne et rustique Omachi, cultivée localement. Caractérisé par un nez captivant, expressif, et par une bouche engageante et complexe, bien équilibrée entre acidité et alcool, il accompagnera idéalement les sushis.

Saké Junmai Azumaichi

15,00  TTC
Petit prix, grandes qualités! Un nez discret et délicat, évoquant les fruits comme la pêche et la poire, ainsi que des céréales, avec une minéralité en fond. La bouche est moelleuse, accompagnée d'une petite amertume rafraîchissante ; l'aromatique est quant à elle végétale, avec des notes d'herbe et de sève.

Saké Junmai Sempuku

22,00  TTC
Un léger arome de chataîgne pour ce sake junmai, facile d’approche, qui nous presente differents aspects en fonction de la température de dégustation : il sera léger et discret bu frais mais présentera des gouts et une acidité plus marqués en le chauffant. Il accompagnera au quotidien tout type de mets.

Saké Junmai rosé Cokun

24,80  TTC
Ce saké est brassé avec une levure unique, offre une teinte rosée élégante. Doux, soyeux et faible en alcool, il révèle des arômes fruités délicats. Parfait en apéritif ou en dessert, c'est une introduction idéale au monde du saké pour les novices.

Saké Junmai millésime 2022 Tazinba Shiro

610,00  TTC
Saké Junmai millésime 2022 Tazinba Shiro : Saké d’exception, Tazinba Shiro est produit en quantité très limitée, à hauteur de 1000 bouteilles par an.

Saké pétillant Chiyomusubi SORAH

78,60  TTC
Dégustez le Chiyomusubi SORAH, un saké pétillant authentique. Avec ses arômes de poire, de banane et de melon, chaque bulle offre une fraîcheur exquise.

Saké Junmai Amabuki Yamahai Omachi

34,00  TTC
Le nez est aromatique sur le riz soufflé, le pop-corn et le sucre brun. La bouche est légèrement sucrée à l'attaque, accompagnée d'une belle acidité. Puis arrivent des vagues de fruits jaunes, de riz soufflé à nouveau, le tout se terminant sur un côté minéral et iodé.

Saké Junmai Ginjo Itteki Nyukon

11,50 33,50  TTC
Saké très équilibré de la Maison Kamotsuru. Complexe au nez, on est charmé par les arômes fruités et herbacés. En bouche l'attaque est douce et moelleuse, avec une acidité qui prend vite le relais, conférant une richesse gourmande en coeur de bouche. La finale, persistante, est minérale. Un Junmai Ginjo superbement maitrisé et très abordable.

Saké Junmai Ginjo Kiseki no Osake Omachi

38,70  TTC
Saké à base de riz cultivé sans engrais artificiel ni pesticides ! Au nez c’est joliment aromatique, on ressent tout de suite les fruits exotiques, suivis de notes d’anis, de champignons et de réglisse. En bouche l’attaque est comme huileuse, c’est léger, mentholé, poivré et frais. C’est un saké droit et fluide. Médaille d’or au Concours Mondial des Vins Féminalise 2019

Saké Junmai Daiginjo Redrock

45,10  TTC
Le premier nez est aromatique avec des notes de riz. On retrouve aussi des fruits d'eau comme le melon et le ramboutant .

Saké Honshu Ichi Muroka Junmai

35,00  TTC
Un saké Junmai par excellence. En bouche, se dessine un équilibre entre la sucrosité et l'acidité véritablement maitrisé. La finale esquisse des saveurs de pomme verte, plus sucrées qu'acides.

Saké Junmai Gozenshu 1859 Omachi

23,50  TTC
On ne fait pas plus authentique ! Le brasseur a allié le riz Omachi (la plus ancienne variété de riz à saké, née en 1859) et la méthode de fermentation « bodaimo », vieille de plusieurs siècles. Le nez est fruité avec des notes de céréales, d’anis, de menthe et un côté crémeux. En bouche c’est doux avec une surprenante attaque perlante. On ressent une belle amertume (zestes d’agrumes, poivre) accompagnée de touches de fruits à coque, de riz cuit et de champignons.

Saké Ichidai Misen Ginjo

32,00  TTC
Un saké rafraichissant et léger, agréablement fruité avec des notes de pomme et de poire. Très facile d'accès, idéal à l'apéritif ou avec des sushi.

Saké Junmai Ginjo Munemasa

33,90  TTC
Un Junmai Ginjo particulièrement doux qui développe des arômes puissants. Il est sucré et dense en bouche, avec une onctuosité marquée qui rappelle un peu le miel, tandis que des touches salines apportent une agréable fraîcheur. Bu frais, ce “Munemasa -15” ravira particulièrement les néophytes à la recherche d’un saké riche mais facile à boire.

Saké Junmai Shichida

42,00  TTC
Un saké très rafraîchissant ! On retrouve du melon d’eau, de la poire, de l’ananas, de la fraise ananas et de la groseille. On perçoit un côté poivré. La fin de bouche est pleine d'umami.

Saké Junmai millésime 2021 Daiginjo Kimoto

1430,00  TTC
Saké Junmai millésime 2021 Daiginjo Kimoto : Découvrez le saké Tazinba Shiro millésime 2021, saké exceptionnel produit en quantité limité. Degré d'alcool de 17 degrés.

Saké Junmai Kimoto Sempuku Shinriki

29,00  TTC

Le nez, légèrement aigre-doux est complexe et combine des arômes de fruits murs avec un bouquet proche de l’amande. L’usage de la méthode traditionnelle Kimoto et du riz Shinriki assez faiblement poli nous livrent une bouche dense et aux saveurs corsées combinant richesse, douceur, acidité et amertume.

Saké Tazinba Kuro Junmai Kimoto millésime 2022

1430,00  TTC
Saké Tazinba Kuro Junmai Kimoto millésime 2022 : Ce saké Tazinba Kuro millésimé 2022, produit par Shotoku Shuzo, est un saké d'une très grande élégance.

Saké SANKO MASAMUNE Vintage 1973

Découvrez le saké SANKO MASAMUNE 1973 : un saké vieilli d'exception, héritage de quatre générations d'artisans. Des arômes riches de xérès, de vieux rhum et de caramel vous transportent dans une expérience sensorielle unique. Plongez dans l'histoire et savourez le luxe avec chaque gorgée.

Découvrez notre sélection de saké premium

Si le Japon n’est pas le seul pays à produire de l’alcool à partir du riz, il s’est particulièrement illustré en la matière. Au Pays du Soleil Levant, le « vin de riz », surnommé la « boisson des dieux », est un véritable trésor national.

Avec près de 2000 brasseries de saké, on compte une très grande diversité de références, à des tarifs très variables.
Aussi respecté et prisé que le vin en France, il a aussi son lot de connaisseurs.

Et bien entendu, comme le vin, il fait l’objet d’un véritable art de vivre. En effet, il y a plusieurs façons de le déguster, et des plats qui se marient plus ou moins bien avec un saké, selon celui que vous aurez choisi.

Qu’est-ce que le saké ?

Ce qu’on appelle le saké en France est une boisson alcoolisée issue de la fermentation du riz. Il affiche en général entre 11 et 20° d’alcool. On le surnomme aussi « vin de riz ». Pour autant, cette boisson, produite à partir d’une céréale (le riz), a des techniques de production plus proches de la bière. Il n’est donc pas rare qu’on qualifie de « brasserie » les maisons qui le produisent.

En japonais, si le terme saké ou o-saké désigne cette boisson spécifiquement, on le retrouve aussi dans beaucoup d’autres boissons alcoolisées. Pour éviter la confusion, il n’est donc pas rare que les Japonais le désignent sous le nom de « Nihonshu », qui signifie, tout simplement « alcool japonais ».

Ses traces dans l’histoire japonaise sont anciennes, elles remontent à près de 2000 ans. Mais bien sûr, les techniques se sont affinées au fil des siècles. Aujourd’hui encore, le saké fait partie des produits de consommation courante au Pays du Soleil Levant.

Comment est produit le saké ?

Comme la bière ou le vin, le saké est le fruit de techniques et de savoir-faire, transmis et perfectionnés au fil des générations. On dit que celui-ci repose sur trois piliers : waza, mizu, kome. En français : le savoir-faire, l’eau et le riz.
Le savoir-faire, bien sûr, c’est celui du maître-brasseur. La qualité de l’eau, elle, va fortement influencer celle de la boisson, comme elle le ferait pour la bière. Enfin, on ne choisit pas n’importe quel riz pour la fermentation.

On commence par saccharifier le riz à l’aide d’une moisissure appelée kôji-kin, « microbe-levure » en japonais. Le riz utilisé est une variété à gros grain, au cœur blanc opaque, avec une faible teneur en protéines. Le tout reste à fermenter et étuver dans une eau de source. Celle-ci est ensuite mise en bouteille.
Si les techniques de production sont proches de ce qu’on pourrait voir pour de la bière, le saké n’est pas une boisson effervescente. Sauf indication contraire, le saké n’est pas une boisson de garde et il est conseillé de le boire dans l’année.

Le saké, trésor national au Japon

Moins populaire en France, le saké est en revanche très prisé au Japon. On le surnomme la « boisson des dieux ». Couramment consommé, c’est un véritable trésor national au Pays du Soleil Levant.

Avec un peu moins de 2000 brasseries et 15000 à 20000 variétés, le saké est un monde à lui tout seul et fait l’objet d’un véritable art de vivre.
En cela, malgré des techniques de fabrication bien différentes, il est traité avec le même intérêt et le même respect que le vin en France.

Des techniques de fabrication de saké qui ont évolué…

Le saké aurait fait son apparition au Japon peu après la riziculture. L’un comme l’autre y ont été introduits par la Chine. Les premières techniques de fermentation étaient plutôt rudimentaires. En effet, la saccharification se faisait par l’ajout de salive humaine. Le riz, ainsi mâché, voyait sa fermentation facilitée.

On le surnomme la « boisson des dieux » pour une bonne raison. Au VIIIe siècle, les deux religions nationales lui confèrent un caractère sacré, en l’intégrant à leurs rites. Dans la même période, un édit impérial le consacre lui aussi.

Un siècle plus tard, un texte présente les techniques de fabrication d’une dizaine de saké différents, ce qui marque le début d’une normalisation des techniques de production. On commence à relever le rôle de la température de préparation. Dans la même période, la demande s’envole et les temples produisant du saké se multiplient.

Au XVe siècle, le saké se rapproche de plus en plus de celui que nous connaissons aujourd’hui. Mais c’est au XIXe siècle, à la fin de l’ère Edo, que les techniques de production modernes font leur apparition. L’amélioration des connaissances en chimie et l’industrialisation des modes de production permettent de standardiser la production.

… Et les modes de dégustation de saké aussi

Longtemps, l’usage était de chauffer le saké avant de le servir. C’était même la meilleure façon de lui faire honneur. Le froid inhibant ses arômes, on disait qu’un mauvais saké était « bon à être bu froid ».

Mais aujourd’hui, les mœurs autour du saké ont évolué. S’il n’est pas rare qu’on continue de chauffer le saké, on considère que les meilleurs saké peuvent facilement être bus frais.

Pour autant, cela reste une question de préférence et il n’est pas rare de le chauffer. L’expérience gustative reste très différente selon les températures.

Servis frais (entre 5 et 15°C), ils mettent davantage en avant les arômes fruités.

À température ambiante, il se fera plus rond, et sa palette aromatique sera souvent plus large. Servi chaud (entre 30 et 55°C), certains arômes ressortent de façon plus puissante. Les effets de l’alcool sont aussi renforcés, ce qui amène à en limiter la consommation.

Quelques accords mets-saké

Tout comme il y a des accords mets-vin, il y a des accords mets-saké. Par exemple, le Honshu-Ichi Nigori est un saké simple, qui se marie bien avec un plateau de fromages, de l’omelette, de la cuisine épicée. Le Zuikan Kimoto Junmai Ginjô, lui, est un saké aux arômes affirmés. Plus minéral et iodé, il se mariera particulièrement bien avec des fruits de mer et des fromages à pâte persillée. Enfin, l’Azumacho Junmai est un saké plus gourmand, qui se marie bien avec des mélanges sucré-salé. Le Tokumetsu Junmai “Empereur de la Nuit”, lui, est un saké raffiné, particulièrement adapté pour les sashimi et les plats de fruits de mer.

Les saké supérieurs :